jeudi 11 février 2010

Texte

Lorsque nous quittâmes le salon, il était tellement nerveux qu'il avait peine à se tenir debout.
Quand il eut refermé la prote de la bibliothèque derrière nous, il se précipita vers moi, me soupliant de le sauver, de le délivrer de ces choses affreuses qu'il poursuivaient partout et le tourmentaient sans cesse.
Je ne comprenais rien à se qu'il me disait et fus obligé de le sécouer violemment pour qu'il se tranquillise un peu.

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